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 METHODOLOGIE du RESUME

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PostSubject: METHODOLOGIE du RESUME   METHODOLOGIE du RESUME I_icon_minitimeThu 8 Apr - 12:16

Cela dit, le résumé présente des contraintes incontournables.
En effet, tout résumé respecte
- l’énonciation : on considère que c’est l’auteur lui-même qui résume son texte. S’il a employé la première personne du singulier ou du pluriel, on la conserve obligatoirement. Ce respect de l’énonciation implique aussi que tout ajout ( du genre : l’auteur dit que…) et toute intervention personnelle (sous quelque forme que ce soit ) sont à proscrire, faute de quoi on rentrerait dans le domaine de l’analyse.
- le déroulement linéaire du texte : on ne change pas l’ordre des idées et encore moins celui des paragraphes. En effet, tout résumé rend compte de la démarche argumentative (informative, narrative…) que l’auteur a choisie pour son texte.

De même, consistant en une reformulation personnelle, le résumé s’interdit
- tout montage de citations extraites du texte et reliées plus ou moins habilement entre elles par des connecteurs logiques. [le résumé n’est pas un « couper-coller »]
Toute citation d’un mot ou expression provenant du texte, même quand on les met entre guillemets. Mais le bon sens devant jouer, on permettra la reprise de termes qui n’ont pas d’équivalent ou pour lesquels il faudrait utiliser une périphrase : on ne va pas remplacer « le téléviseur » par « la petite lucarne » !

METHODE :
I. L’étude du texte.
- La prise de contact.
Il s’agit d’une première approche globale. A cet effet,
on lit une première fois texte et paratexte pour savoir de quoi parle le texte, qui l’a écrit, quand, dans quel support ( journal, essai, roman…)

Cette première lecture peut donc déjà orienter le résumé.
- L’analyse du texte. Après cette première étape, on reprend le texte.
On repère les paragraphes et on se demande s’ils constituent chacun une unité de sens. Si oui, on leur donne un titre dans la marge. Attention ! Plus d’un auteur (surtout les journalistes : attention aux intertitres parfois fantaisistes jusqu’au faux-sens !) coupe son texte en paragraphes tout simplement pour le rendre plus lisible, et non en fonction des unités de sens. Si deux ou trois paragraphes développent la même idée, on les réunit par une accolade dans la marge et on leur donne un titre commun.
Dans chaque paragraphe (ou unité de sens constituée par plus d’un paragraphe), on encadre les connecteurs logiques qui traduisent la démarche argumentative.
On surligne d’une couleur l’idée principale et d’une autre les idées secondaires.
On relève ce qui est digression et exemples, et on se demande ce qu’il convient d’en faire. On élimine les exemples s’ils sont peu nombreux et purement illustratifs. Mais s’ils sont en nombre conséquent on cherche leur dénominateur commun, que l’on insère dans le résumé.
II. La rédaction au brouillon.
On peut maintenant commencer à rédiger son brouillon.
On reformule donc le texte en conservant bien sûr l’énonciation, tout en évitant les mots familiers, même s’ils s’y trouvent.
Pour cela,
1. on veille à respecter :
- Le déroulement linéaire du texte
- La hiérarchisation des idées
- L’enchaînement des idées, en employant des connecteurs logiques.

2. on rédige par paragraphes en fonction des unités de sens dégagées. Le résumé n’a donc pas besoin de compter le même nombre de paragraphes que le texte initial. Chaque paragraphe commence par un alinéa.

3. on compte le nombre de mots que contient chaque phrase et on fait des totaux partiels à la fin de chaque paragraphe. On calcule le total et on l’indique à la fin de son brouillon. ( une habitude commode consiste à mettre un / après 20 mots et inscrire, en renvoi dans la marge, le sous-total)

4. si nécessaire, on condense encore ou on rajoute des éléments initialement supprimés. Mieux vaut, en effet, tendre vers le maximum de mots utilisés pour éviter le reproche d’oublis.

5. on se relit pour :
Vérifier la qualité de son style, son orthographe, sa grammaire
Repérer d’éventuelles erreurs de compréhension : attention aux faux-sens ou aux contresens. Ainsi on ne pourra rendre « la malignité publique » par « les petits malins du peuple ». Il est donc important de veiller à l’ironie ou à l’humour, qui peuvent mener tout droit à des contresens si l’on n’y prend garde.

La version définitive.
Le brouillon achevé, on le recopie au propre en facilitant la vie au correcteur dont il faut savoir s’attirer les bonnes grâces. On soigne donc la présentation de son devoir. Les candidats sous-estiment généralement l’impact d’une calligraphie impeccable. Pour cela :
On rédige au stylo à encre (aucune exception n’est acceptée)
On écrit lisiblement
On n’oublie pas les alinéas au début de chaque paragraphe, mais on ne saute pas de ligne entre les paragraphes.
On indique, à la fin de son résumé, le nombre exact de mots utilisés.


Mise en pratique : faites le résumé ( en 80 mots +/- 10 % ) du texte p. 23 « Le pain une spécialité qui s’exporte »
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POESIE : Le pain et la nourriture

La litanie des bons compagnons
De petit dîner et mal cuit,
De mal souper et malle nuit,
Et de boire du vin tourné,
Libera nos Domine.
De vieille guenon qui se farde,
De coup d'épée ou hallebarde,
D'être de musc empoisonné,
Libera nos Domine.
Donnez-nous perdrix et pigeons,
Grasses gélines et cochons,
Et nous remplis de vin nos pots,
Te rogamus, audi nos.
Donnez-nous grand foison de vin,
Pour mieux boire soir et matin,
Et puis argent à tout propos,
Te rogamus, audi nos.
Clément Marot (1496-1544)
Poète français. Saint patron des poètes de langue française après Villon et Ronsard.


Le pain

La surface du pain est merveilleuse d’abord à cause de cette impression quasi panoramique qu’elle donne : comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes.
Ainsi donc une masse amorphe en train d’éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant elle s’est façonnée en vallées, crêtes, ondulations, crevasses… Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente.
Ce lâche et froid sous-sol que l’on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable…
Mais brisons-la : car le pain doit être dans notre bouche moins objet de respect que de consommation.


Le végétal

Bien que l'être végétal veuille être défini plutôt par ses contours et par ses formes, j'honorerai d'abord en lui une vertu de sa substance : celle de pouvoir accomplir sa synthèse aux dépens seuls du milieu inorganique qui l'environne.
Tout le monde autour de lui n'est qu'une mine où le précieux filon vert puise de quoi élaborer continûment son protoplasme, dans l'air par la fonction chlorophyllienne, de ses feuilles, dans le sol par la faculté absorbante de ses racines qui assimilent les sels minéraux.
D'où la qualité essentielle de cet être, libéré à la fois de tous soucis domiciliaires et alimentaires par la présence à son entour d'une ressource infinie : l'Immobilité.

Francis PONGE, Le parti pris de choses, 1942


Introduction :


Ce poème de Ponge nous entraîne dans une forme de désacralisation ; en effet, quel objet plus chargé de symboles, plus lourd de significations que le pain et ce pour l’ensemble des religions du livre : pain de libération de la Pâques juive, pain de vie de l’Eucharistie chrétienne, dans l’Islam même, il n’est pas douteux que le pain doive être revêtu d’un sens fort. Pain révéré, pain adoré pour ce qu’il représente, or voici que le poète nous en donne une image séculière, le pain image du monde et non plus image du corps divin ou du passage et de la promesse, non ! mais image de cette terre croûteuse que nous foulons. Elle nous renvoie (1) cette apparence familière que nous reconnaissons dans sa surface, mais sa fabrication nous initie (2) au secret même de la création, pain cosmogonique, mais pain, encore, caché, (3) secret qui par un retour du sacré nous invite à le rompre dans le partage.

1) Croûte tellurique

D’emblée nous quittons l’univers chrétien : « La surface du pain est merveilleuse », elle n’est pas miraculeuse, elle suscite l’émerveillement, celui de l’émotion esthétique, par la façon dont elle remplit l’œil. Ce pain est bien terrestre, il n’affiche pas de valeur spirituelle, il représente la terre, sa superficie, sa croûte. D’ailleurs, n’est-ce pas le même mot qui désigne l’un et l’autre, pain et terre à leur surface, tous deux sont d’abord croûte, épaisseur dure où s’inscrivent reliefs, montagnes et vallées, pain panorama qui donne à voir le monde à son échelle réduite, qui produit au regard ce que l’astre ne saurait faire, sa dimension l’en empêchant, « une impression quasi panoramique » de soi. Le pain c’est d’abord cela : la terre en son entier, à portée de main « comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes. »
Etre sous la main, ce pourrait être une qualité essentielle du pain, il y a dans l’être du pain un rapport nécessaire à la main, du pétrissage de la pâte au pain rompu, c’est peut-être pour cela qu’on l’imagine d’abord boule, sphère car qu’est-ce qui y mieux tient, dans les mains, qu’une boule sphérique. Pourtant il laisse cette première impression d’être pour lui-même, d’être pour soi, et c’est la croûte qui l’autorise, elle s’est bien faite, elle-même, croûte, sans la main « elle s’est façonnée » dans sa dureté qui fait son caractère. Qu’est-ce qui l’a durcie ? l’expérience de la chaleur du four, le contact avec celle-ci, en effet il faut en passer par elle pour aller au pain. Dans le four des étoiles, se sont constitués ces destins qui s’inscrivent en lignes sur cette peau rugueuse protectrice de la mie. Croûte de l’expérience des choses, rugosité d’un tempérament façonné par les coups et les caresses comme ses mains de vieillards qui racontent des vies de labeur et de soleil.
Comme la terre, encore, le pain perd sa dureté sous la croûte, la mie s’enfonce sous le doigt, elle répond avec mollesse à sa sollicitation. Revient alors l’image de l’éponge que nous avons déjà rencontrée, qui est Ponge ? L’éponge ? Bizarrement la voici à nouveau, ignoble, sensation de lenteur est de difficulté de se faire. Eponge qui résiste au geste créateur, tu es de la blancheur des pages que je désespère de noircir, tu es l’anti-poème ! Oui, ignoble, car j’étais si bien parti avec la croûte et il me faut maintenant te dire, m’occuper de toi quand je n’ai plus rien à sortir de moi !
Mie, image encore de la vieillesse du pain, c’est par elle qu’il perd sa qualité de bon pain, mie qui devient friable et qui se détache comme dans un abandon à la mort.
Croûte et mie, ce pain a décidément quelque chose à me faire dire : l’origine des mondes et leur devenir, « γένεσις » et « φθορά », genèse et destruction.

2) cosmogonie

L’astrophysicien, pour donner une idée de l’expansion de l’univers à partir de ce qu’il appelle le Big-Bang, recourt à l’image de la cuisson du pain aux raisins. Petite boule de pâte disposée sur la plaque d’un four, le pain, à l’origine, contient à intervalles réguliers des raisins secs qui chacun sont à une distance définissable l’un de l’autre. Avec la chaleur du four la pâte monte, les distances des raisins entre eux ne cessent d’augmenter, pourtant aucun d’eux n’est animé d’un mouvement propre qui l’éloignerait d’un autre. Le pain cuisant, tous les objets constitutifs de la pâte continuent de s’éloigner à partir d’un centre virtuel, point d’origine, point cosmogonique permettant de restituer l’idée de départ de la petite boule de pâte. « Ainsi donc une masse amorphe en train d’éructer fut glissée pour nous dans le four stellaire, » en cette masse amorphe, pleine des gaz suscités par le levain, nous reconnaissons la pâte originelle, la pâte cosmogonique indifférenciée. Avant le pain, ce n’est pas le néant, le rien que nous rencontrons, mais l’indifférencié.
Au commencement, tout était pâte ; puis, dans la cuisson du four stellaire, croûte et mie se sont distingués. Alors il y eut la croûte et il y eut la mie. La surface s’est faite croûte, elle est devenue paysage parce que la lumière fut sur elle, y « couchant ses feux. » Et voici que le pain raconte l’histoire de la création des mondes, du poème des mondes, comment le sans forme, l’ « amorphe » se façonne en durcissant. Cette première masse amorphe « fut glissée » dans le four, geste d’un auteur qui n’est pas désigné, d’un auteur sans nom, certes elle ne s’est pas glissée elle-même, elle en eût été bien incapable, quelqu’un l’a glissée dans le four, et l’a fait « pour nous » comme si, dans le pain, dans son idée même, il y avait déjà l’oblation, le dévouement à l’autre et peut-être le sacrifice.
Ainsi donc le pain nous rappelle la cosmogonie, la création des mondes, mais une création inachevée, une création où, sous la croûte, sourd encore l’indifférencié de la mie. Mie mal séparée, mal détachée, comme des jumeaux mal formées : « comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois ». Il faut que se prolonge le travail de durcissement, que le pain se rasseye, et que rassis la masse intérieure de sa mie « devienne friable », que lui-même après l’expansion, « se rétrécisse », que ces fleurs, les farines qui le constituent, « fanent et se rétrécissent », image du « ratatinement » de la vieillesse, image de fin du monde. Mais parlant de fin, la faim vient et il nous faut rompre ce pain de tant de paroles.

3) Sacrifice

Rompre le pain représente l’Eucharistie, le sacrifice messianique. Image du dernier repas du Christ avec ses disciples. Le « faites ceci en mémoire de moi » invite à retrouver dans le geste le sens sacré du repas pascal. Ponge semble vouloir éviter par un jeu de mot l’allusion trop directe au sens de la formule : « Mais brisons-la ». « Briser là » est une formule de séparation voire de rupture, manière de dire : « restons-en là » ; le sens y est bien sûr, à l’accent près, quel est ce « la » sans accent, qu’il s’agit de briser ? Le tiret, lui-même, prête à équivoque, comme s’il s’agissait d’une expression consacrée, d’une formule toute faite alors qu’il n’en est rien ! Enfin, « la » ne peut-être que la mie, la masse de la mie, ni le pain, à cause du genre, ni la croûte dont il n’y a aucune occurrence dans la phrase qui précède, or peut-on briser la masse molle ou friable, selon son âge, de la mie ? Non ! Seule une matière résistante, dure peut l’être, brisée, tout ce que n’est pas la mie. Eussions-nous eu : « brisons la… », nous aurions pu penser à : « briser la glace », en invite à communiquer dans le partage du pain, sa consommation ! Ce « brisons-la » nous reste un défi, comme si toute détermination nous était refusée, seul demeure d’indifférencié qui nous assigne à quia, mais nous n’en resterons pas là, précisément ! Ce pain est « moins objet de respect que de consommation », l’idée de sacrifice semble écartée, n’est-elle pas de celle qu’accompagne forcément le respect ? Simpliste ! On relira Georges Bataille à l’envi, le sacrifice est autant de l’ordre de l’exécration que de celui de la crainte, très peu du respect.
Cette consommation est accomplissement, consommation des jours comme est écrit dans la Bible, où « tout est accompli », dernière parole du Christ sur la croix, « consummatum est » dans la Vulgate (traduction latine de la Bible). Le pain a été cuit pour nous dans le four stellaire, sacrifié, consommé dans notre bouche, il trouve sa destination, son accomplissement. La formule anonyme de son enfournement, l’invitation à briser là, n’a pu éviter un retour sacrificiel du sacré car tout dans les mots du pain fait piège, prolifération des sens. Ce que nous voulions éviter nous revient en bouche pour s’y accomplir, s’y consommer ou y être consommé, la frontière est trop fragile, le symbole est là dans sa simplicité, ce sont les mots du poème ! Alors brisons là.


Conclusion


Poème d’une temporalité, Le pain de Francis Ponge nous présente en préliminaire un pain dont il nous raconte ensuite la création pour nous en dire enfin le destin. Objet commun, le pain contient en puissance le sens du tragique dont chacun sait qu’il est d’abord sacrificiel. Sacrifice du quotidien qui donne son goût au mot car le pain porte en bouche, invite à la parole, il dit le mystère des choses communes, monde, image du monde, il témoigne d’un aspect de ce qui le fait être et qui le destine à être mangé, consommé car tel est le destin que les étoiles du four cosmogonique inscrivent sur sa surface croûteuse.
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PostSubject: Re: METHODOLOGIE du RESUME   METHODOLOGIE du RESUME I_icon_minitimeSun 11 Apr - 11:12

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