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| Subject: Un fait de l'actualité extrait du journal en français facile. Fri 5 Dec - 8:25 | |
| Ecoutez Journaliste 1 : Champ de bataille des deux guerres mondiales, la Belgique reste aujourd’hui un cimetière de munitions. Chaque année, le service de déminage retrouve plus de 300 tonnes d’obus, mortiers et autres projectiles d’artilleries. Pour venir à bout de cet héritage, l’armée belge s’est munie depuis peu d’infrastructures de pointe et qui constituent une véritable usine de destructions d’armes unique en Europe. Reportage de Joana Hostein.
Joana Hostein : Sous une fine couche de boue, c’est un obus allemand qui vient d’être déterré. Nous sommes à Philippeville, dans le sud de la Belgique. Cette modeste bourgade, à une vingtaine de kilomètres de la frontière française, à la particularité d’être située non loin de la ligne de front de la Première Guerre mondiale. A la manœuvre ce matin, le service d’enlèvement et de destruction des engins explosifs. Opération de routine, la munition est d’abord identifiée puis conditionnée.
Homme 1 : On va le mesurer pour voir...
Homme 2 : 80…
Homme 1 : Et en diamètre ?
Homme 2 : 21 [pas tiré]…
Homme 1 : [normalement] Première Guerre mondiale, et la fusée […] WZDR10.
Joana Hostein : Tiré lors de la Première Guerre mondiale cet obus a touché le sol sans exploser. Près d’un siècle plus tard le système de mise à feu est toujours opérationnel et une mauvaise manipulation ou un choc violent pourraient être fatals TOPIC : Un fait de l'actualité extrait du journal en français facile. SOURCE : Linguistic Studies ** http://languages.forumactif.org/ |
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